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Charlotte K. Lynch
Charlotte K. Lynch
always be sweety
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Liam ⊰ Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur. Empty Liam ⊰ Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur.

Ven 21 Sep - 16:40

Liam Campbell & Charlotte K. Lynch
Une soirée pour elle, pour elle seule, enfin pas totalement. Si en général Charlotte passait soit ses soirées au travail, l'un ou l'autre, d'ailleurs. Sois avec son fils. Ce soir, elle était libre de toute obligation grâce à une proche amie et surtout à son fils, qui lui avait indiquée profiter de sa soirée de "libre" pour sortir avec quelques collègues qui allaient faire la fête. Ce n'était pas son genre, non. Charlotte, elle n'était pas de celle qui se trémousse par envie et plaisir au milieu d'une piste de danse pour attirer les regards, encore moins de celles qui restent assises face à une tablée de copines cancanant sur les connaissances en commun. Elle faisait parfois le premier parce qu'elle était payée, eh bien, mais la danse pour elle était un art, un art dont elle était privée. Alors ce genre de soirée n'était que rarement agréable. Mais faire l’effort, pour s'intégrer à son travail s'intégrer dans une société "normale". S'éloigner de son autre travail de son autre monde, plus luxueux. Il le fallait, c'était nécessaire, pour elle. Alors oui, elle avait accepté, après s'être assuré pour la millième fois que son fils ne lui en voudrait pas. Elle le voyait déjà si peu en vérité. Ils avaient changé de vie pour s'éloigner de la violence d'un homme. Et finalement elle était au cœur d'un gigantesque jeu de pouvoir et d'argent. Une tornade encore plus violente au final. Car certains clients n'étaient pas tendres. Mais au moins, à présent, son fils était à l'abri. Et c'était bien tout ce qui comptait aujourd'hui.

Charlotte avait donc passer une partie de soirée au SPHYNX, avec quelques collègues, hommes et femmes donc. Elle s'y était amuser malgré ses appriories et appréhension. L'endroit n'était pas le plus charmant qu'elle connaissait, ni le plus fréquentable. Elle avait remarquer les trafics qui s'y faisait, et si quelques collègues jouait le jeu, elle s'y refusait elle. Sa vie était déjà assez étrange ainsi. Pas besoin de devenir une toxicomane en plus de tout cela. Si ses parents la voyaient... Mais elle refuse de pensée à tout cela et ce soir elle profite Charlotte, elle s'amuse elle danse, elle boit un peu, pas trop, car il ne faut pas. L'amie qui garde son fils dors chez elle, elle à le temps de s'amuser toute la nuit si elle veut. Mais la fatigue la gagne vite alors elle s'excuse et s'éclipse. Elle veut rentrée voir son fils, être auprès de lui. Après un au revoir à chaque personne qu'elle connait ici, elle ramasse ses affaires et quitte la boite de nuit pleine à craqué. Un peu d'air ne lui fait pas de ma, au contraire. Sa petite veste de cuir et sa robe noir se fonde alors dans la nuit à mesure que ses pas l'éloigne du bruyant et vivace club.  

Le claquement de ses talons se fait doucement entendre, remplaçant la forte musique. Il ne fait pas froid, pas vraiment malgré une brise légère. Mais l'alcool redescend et le district est peu sûr. Si Charlotte cherche un taxi, elle ne trouve personne. Alors elle marche, sa maison n'est pas si loin, enfin... Et puis elle finira par tomber sur une avenue passante et un taxi, non . Elle l'espère au fond. Mais elle n'a pas peur, pas réellement, elle n'a plus peur depuis longtemps Charlotte. La violer . On l'a déjà fait, plusieurs fois. Son mari même l'a faits. L’agresser, lui taper dessus, la voler. Il ne serait pas le premier. La tuer... Peut-être au fond, est sa seule crainte. Pas pour sa propre personne, mais pour lui, toujours lui, sa chair, sa vie, celui qui lui a tout fait quitté, celui qui la poussait à se battre pour sortir de l'enfer... Et finalement y retourner. Mais sa situation est différente, le réseau la protège, un au minimum du moins. Tant qu'elle va dans leur sens, certes. Mais elle se complaît dans un minimum dans cette situation. Au moins son fils peu profité de l'argent qu'elle gagne. Il est gâté, il a une belle vie aujourd'hui. Oui elle a peur à présent de l'abandonner. Alors elle fait attention quand même. Elle a un petit couteau dans son sac, mais on sait bien, jamais cela ne se passe comme on l'imagine. Alors elle sait au fond que si on vient à l'agresser, elle ne sera qu'une pauvre femme sans grande défense... Parce Que'u fond elle n'est que cela, Charlotte.

Ses pas s’accélèrent, comme son coeur. La raison est inconnue, un présentement, une envie d'aller plus vite. Ou peut-être est-ce cette ombre qui la suit depuis un moment. Elle marche vite, malgré ses talons, elle y est trop habituée. Son regard se détourne parfois, il la suit. Puis il disparaît à l'angle d'une rue. Elle ne ralentit pas. Peut-être contournait-il. Il ne semble pas bien grand, mais costaud. Elle détourne toujours le regard par instants. Si bien qu'elle percute de plein fouet alors un homme. Il est grand, lui. Il ne semble pas bien fort, mais c'est un homme. Elle s'excuse. Il ne répond pas. D'un réflexe il l'a tenu par les épaules alors qu'elle s'est cognée à lui. Il serre davantage. Le cœur de la femme fatale se serre. Elle avait presque peur d'une ombre, mais serait-ce de lui qu'elle devrait avoir peur. Il fait sombrer, les lampadaires marchent par intermittence. Son visage, elle ne le distingue pas bien. Mais il est ferme. Il serre encore. Kirsten lui demande de la lâcher, il serre encore. Il la pousse alors avec fermeté vers le mur. Elle crie plus fort, elle demandant de la lâcher. Elle tente de se débattre, mais il la tient trop fermement. Ses bras n'arriveront à rien. Elle tente un coup de pied. Il s'énerve et la plaque avec violence contre le mur. Se serrant ainsi plus à elle, la bloquant dans ses mouvements. Son souffle est cours du choc. Elle demande ce qu'il veut. Il ne répond toujours pas.
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Liam ⊰ Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur. Empty Re: Liam ⊰ Les êtres humains sont les seuls animaux dont j'aie réellement peur.

Lun 12 Nov - 17:53
Voilà une soirée de plus à la surveiller, à être dans son ombre à guetter qu’il ne lui arrive rien comme l’exige Ivy notre patronne. Assis au fond du bar, je la regarde d’un œil diverti entrain de s’amuser avec certains autres employés du gang … Tout ce petit monde rit, s’amuse et me donne un peu envie de vomir … c’est cru oui mais je suis ainsi. Je sais qu’elle a un rejeton, un môme dont, je ne saurais donner l’âge mais que j’ai pu furtivement apercevoir, je n’aurais pas dû mais cela a été le fruit du hasard total. Je soupire devant mon café, je ne peux prendre une bière ordre de la patronne … elle a raison, je dois toujours rester alerte même ce soir, mais elle devrait savoir qu’une simple bière ne me tuera pas et ne rendra pas saoul. L’alcool et moi nous faisons bon ménage, attention n’allez pas lire que je suis alcoolique, loin de là mais, je supporte plus d’une bière tout de même. La musique bruyante me soule, être ici aussi et pourtant, j’y suis au sphynx pour les protéger elle et les autres des connards qui leur chercheront des merdes. Durant cette soirée, je l’ai vue s’amuser, rire pour la première fois depuis longtemps et peut-être même pour la première fois depuis que je la connais. Elle va s’en aller, je l’ai repéré puisqu’elle a attrapé sa veste, son sac et qu’elle a salué les autres. Une nana vient m’aborder, je souris légèrement, termine mon café et l’envoie chier. Elle n’est pas moche, elle pourrait faire l’affaire dans les chiottes et en levrette mais, j’ai du boulot et ma mission est entrain de se tirer. Elle me traite de salop, c’est une prostituée, je viens de le comprendre que maintenant. Le fait d’avoir sans cesse les yeux rivés sur Charlotte, m’a fait perdre mes reflexes. Je peux paraitre dangereux dans cette tenue à savoir un jeans noir, des boots marron sombre et un t-shirt Metallica. Je ne porte pas de veste comme souvent pour être plus libre de mes mouvements. Je sais que je ne suis pas loin, j’entends encore ses talons claquer sur le bitume, la musique est loin derrière nous désormais. La brise soulève quelques mèches de mes cheveux et fait danser légèrement ma barbe imposante. Ma cible semble chercher un truc, une personne mais ne le trouve pas. Je me cale dans un coin sombre, regarde la lune, celle-ci est pleine, ronde comme les seins d’une femme. Ouf elle ne m’a pas repéré, j’ai eu chaud. Je reprends ma traque, on arrive sur une avenue, elle accélère, regarde derrière elle, cette fois c’est sûr, je suis repéré. Je marche sur une dalle cassée, elle craque un peu, mon pied glisse, je grogne en silence. Revoilà, un angle de rue c’est parfait, si je le prends, je vais pouvoir la contourner, la rejoindre un peu plus loin, elle ne me soupçonnera plus de cette manière. J’arrive à l’extrémité de mon détour, j’entends une voix de femme hurler, c’est Charlotte, je presse le pas, un homme la serre contre le mur, il va la violenter. Enfoiré … Mes naseaux soufflent ma colère, je suis comme un buffle. J’attrape le mec par la nuque, le jette en arrière et vient me placer devant Charlotte. « Planque toi ! » Je ne la regarde pas en lui donnant cet ordre, je ne veux pas qu’elle soit plus en danger que cela. L’autre nous lance un regard menaçant, il ne semble pas net, cela ne sera que plus marrant de le démolir …
 
Je me rue en premier sur lui, je ne vais pas chercher à faire durer cet affrontement, je veux que cela soit un carnage, une boucherie ! Une gauche est directement envoyée au niveau de sa mâchoire, cela le fait vaciller, j’en profite pour l’attraper le jeter contre une voiture garée proche de nous. C’est le bon moment pour porter un coup de genoux dans son foie, le choc le fait s’encastrer dans la portière côté passager, j’enchaine avec une série de droite, il est sonné et ne peut rien faire, il a été surpris par mon offensive assez violente. Il tombe à genoux, groggy, il est déjà plus en état d’emmerder quiconque. Tant pis pour lui, je veux le finir. Pour ce faire, je lui envoie ma semelle dans la gueule, lancé avec force, je viens faire claquer sa face de rat une fois de plus contre la portière, il est en sang, ko, inerte. Je ricane et lui crache dessus avant de me retourner sur Charlotte. « T’as rien ? » Le regard est noir, la voix assez dure alors qu’elle est la victime. « Tu sais qui était cette merde ? » Je me suis déjà radouci, l’exaltation du combat est déjà en train de redescendre. J’ai merdé là-dessus, jamais, je n’aurais dû la quitter du regard.
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Lun 26 Nov - 21:52

Liam Campbell & Charlotte K. Lynch
Son silence est étouffant, effrayant. Charlotte, elle a doucement l'impression de suffoquer, entre le poids qu'il exerce sur elle pour que ne se débatte pas et cette aura maléfique. Sa mémoire ne peut s'empêcher de s'emmêler. De "vieux" souvenirs refoulés refont surface. Le visage de l'homme se confond avec celui de son mari. Car oui aux yeux de la loi, Charlotte est bel et bien toujours mariée. Si depuis 3 ans elle a fui sa vie maritale, si depuis 3 ans plus aucune bague n'est à son doigt, si depuis trois ans elle se considère comme mère célibataire, il n'en est en réalité rien. Et peut-être qu'un jour, oui un jour surement, on lui rappellera cela. Plongeant profondément plusieurs ans ce néant de désespoir, dans cette peur qui la paralyse une nouvelle fois face à l'horreur de l'homme. Soudain la pression est moins forte, jusqu'à être nulle. Ses yeux closent du refus d'affronté de moment, de laisser échapper son esprit dans un autre univers, plus ou moins sombre. Laissant son corps aux mains d'une puissance diabolique, abandonnée. Alors ses yeux s'ouvrent, sur une silhouette familière. Son rugissement la fait tomber au sol, comme une enfant sur qui on crierait trop fort. Se planquer. Son seul réflexe a été de ses bras enfin libres se cacher les oreilles, de plonger son nez dans ses genoux qui se recroquevillaient sur elle. Comme si ne voyant pas, elle disparaîtrait elle aussi.

Le son des coups portés l'a fond sursauter chaque fois, mais elle fait plus pression encore sur ses mains et cherche encore plus à disparaître dans ses genoux. Elle ignore qui gagne, même si elle n'a aucun mal à le deviner au fond. La silhouette venue à son secours, un ours, grand et costaud, rien que sa silhouette aurait fait détaler de nombreux hommes courageux. Ses bras semblables à des troncs d’arbre, elle ne doutait pas qu'ils puissent sans mal casser des mâchoires. Son rire, machiavélique, pourtant, la détend, il a gagné, le combat est fini, elle desserre ses mains et bientôt ses genoux s'éloignent de son nez. Un nouveau sursaut la gagne alors qu'elle lève des yeux fragiles vers lui, qui demande si elle n'a rien. Elle ne répond pas. Elle est tétanisée. Ses grands yeux bleus ne font que le dévisager. Charlotte... Elle n'est pas comme ça. Elle n'est plus comme ça... Et pourtant ce soir elle montre que cette force qu'elle pensait acquise ne l'est pas. Seule, face à un homme, quand seule sa vie en dépend, elle en a oublié son fils, mais elle le sait entre de bonnes mains. Mais quand il n'est pas en danger, elle s'oublie, elle se laisse faire, parce qu'elle est fragile Charlotte. Oui, elle est cette femme fragile qui est toujours là assise à même le bitume froid de la nuit. Face à un ours rupestre, qui lui l'a sauvé.

Il l'a sauvé... Il... Son regard s'abaisse vers la "merde" comme il vient de le dire qui gît sur le trottoir. Elle garde le silence pour le moment sa mâchoire fermement close, impossible de la dénouer. Elle voudrait pourtant, mais elle remonte doucement de cette chute vertigineuse. Relevant ses yeux, plus sûrs, un peu. Elle tente quelques mots.

« Je... Me me... Merci. Je. Je ne. »

Elle a besoin de se ressaisir, alors elle ferme les yeux fermement et dans une volonté sans borgnes elle chasse ses tremblements et remonte à la surface. Si son corps ne suit pas encore. Elle relève cette fois ses yeux assurées vers l'homme. Son visage s'élève également. Il lui est familier. Elle l'a déjà vue. Cette silhouette d'ours. Elle ignore qui il est. Un obsédé, un membre des Sweet Poison. La deuxième option lui semble plus plausible, surtout après ce soir. Surtout après cela. Si elle doutait qu'il soit un espion chargé de surveiller les filles et hommes, sur leurs bons travails, et faire son rapport à "Ivy". Elle ne doute à présent plus de la seconde idée. Un protecteur. Veiller sur les filles et homme qui, comme elle, vendent leurs compagnies à des âmes en mal d'amour et d'attentions la plupart du temps.

« Je ne connais pas le moins du monde ce dégénéré. »

Sa voix est cassée, comme bien souvent lorsqu'elle a du mal à contrôler ses émotions. La voilà qui reprennent ses esprits, enfin ! Ce n'est pas trop tôt. Sans l'aide du bodybuilder barbu elle se relève alors. Sa mâchoire de nouveau serrée. Mais plus par la peur, mais la méfiance. Elle ne peut empêcher pas ce sentiment. Depuis quelque temps, elle l'a remarqué lui. À vrai dire, il est difficile de faire autrement. Il est aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine le bougre. Et si Charlotte accepte sans conditions ses petits jeux de pistage comme ce soir, elle apprécie moins qu'il la suive jusque chez elle. Qu'il entre dans ce cercle privé qu'est sa vie de mère et de serveuse banale d'un cybercafé. Si au fond, elle sait qu'il ne fait que suivre les ordres de la patronne. Elle ne peut s'empêcher pas de vouloir sans cesse mettre de la distance avec ce travail. Et lui en fait partie. Et sa voix rauque de fumeuse le lui fait savoir, pour une fois qu'elle le tient face à elle.

« Tu me suivais. Tu sais que tu n'es pas discret ! »
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